Quand leur confort est en péril
Ils cachent leur fiel dans leur tanière
Les préjugés qui se faufilent
Fallacieusement dans leur prière
Gagnent du terrain et se profilent
Dans les bergeries débonnaires
Bien à la mode, ils mettent leur griffe
Sur les murs de tous les réseaux
Maudire leur raisonnement hâtif
Ne vous attirera que leurs crocs
Quand tous les faits alternatifs
Sont engloutis par le troupeau
Quand les débats les font rougir
Ils fardent de mauvais les saisons
Le meilleur se transforme en pire
Et le beau temps en dépression
Les grands-mères deviennent des vampires
Même dans le cœur du chaperon
Ils jettent de l’huile sur tous les feux
De paille et de mèche plus que courtes
Les mots sans bois sont malheureux
Dans les messages qu’ils écoutent
Fanaux et briques chez celles et ceux
Qui abominent et qui redoutent
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